Veuillez trouver ci-dessous les candidats au Conseil d’Administration de la SFAR pour l’année 2022.
Rappel:
- Le vote est ouvert aux membres titulaires à jour de leur cotisation 2022.
- La mise à jour des votants est faite chaque semaine, le vendredi
- Envoi des codes de votes tous les lundi matin (mail extérieur à la SFAR intitulé “Personnel et confidentiel – Convocation à l’Assemblée Générale Ordinaire et codes de vote pour l’élection de vos Administrateurs SFAR”)
Clôture des votes : le 30 Mars à 12h00 heure de Paris
Membre du conseil d’administration et du bureau depuis de nombreuses années, je participe activement aux travaux et aux évolutions de la SFAR pour qu’elle « serve » au mieux tous les médecins et les professionnels de l’anesthésie et de la réanimation. La SFAR doit étendre encore ses capacités pour promouvoir la recherche et la formation par l’utilisation d’outils éducationnels performants.
Son objectif est de porter sa voix au plus près des médecins et des professionnels de l’anesthésie et des soins critiques, en formation initiale et continue. La SFAR doit aussi rester un acteur incontournable pour accompagner les politiques de santé publique, défendre notre conception de la pratique de l’anesthésie et de la médecine périopératoire, et affirmer notre rôle majeur dans les soins critiques. C’est pour soutenir notre société savante dans ces objectifs que je présente ma candidature pour un nouveau mandat au conseil d’administration de la SFAR.
Membre de la SFAR depuis 2003, j’ai eu la chance de siéger successivement au Comité des Référentiels cliniques, au Comité Douleur ALR puis au Comité d’analyse et Maitrise des Risques dont j’ai démissionné en 2018, pour me consacrer pleinement à la présidence de la SFETD pendant deux années. Je soumets ma candidature au CA afin de me mettre pleinement à la disposition de notre Société qui a prouvé la puissance de son efficacité et sa cohérence pendant la pandémie.
Elle s’est rassemblée autour de ses valeurs et de ses fondamentaux. Quels sont les enjeux ? Rester unis et travailler en synergie avec toutes les composantes de la SFAR. Je crois au couple MAR/IADE, à l’indissociabilité entre l’anesthésie et la réanimation, au développement de la recherche, de la formation de l’innovation. La SFAR doit être présente partout où on ne l’attend pas nécessairement, stratégie que j’ai appliquée pendant ma mandature à la SFETD. Ma motivation est sans faille et je serai digne de votre confiance si vous me l’accordez.
A la suite de mon élection en 2019, je me suis constamment impliquée au sein du Conseil d’Administration de la SFAR ces trois dernières années.
Forte de mon expérience antérieure (création du réseau recherche SFAR), je me suis investie dans les discussions et les prises de décisions de notre société savante, notamment dans cette période difficile que nous vivons depuis mars 2020. J’ai plus spécifiquement travaillé à la rénovation et au bon fonctionnement du site internet de la SFAR au sein du groupe Communication. Ceci afin d’augmenter la visibilité de la SFAR et la bonne diffusion de l’ensemble de travaux scientifiques élaborés par les membres des comités.
Mon objectif est de renforcer le lien entre la SFAR et les MAR par une communication accrue et structurée des travaux, des référentiels et de tous les outils indispensables à notre pratique en anesthésie, en réanimation et en médecine péri-opératoire.
Ainsi, afin de poursuivre ces travaux, je me porte candidate à une ré-élection au Conseil d’Administration de la SFAR.
C’est enthousiaste et motivée que je présente aujourd’hui ma candidature au Conseil d’Administration de la SFAR et que je sollicite votre vote.
Participer à la vie active de notre société savante fait partie de mes priorités. J’ai choisi d’orienter ma carrière vers l’Anesthésie-Réanimation en CHU, avec une valence spécifique en obstétrique. Au cours de mon activité professionnelle, je travaille en collaboration étroite avec d’autres spécialités médicales, tant en clinique qu’en recherche. J’ai également eu plusieurs fois l’occasion de représenter notre spécialité auprès des instances gouvernementales. Je suis aussi très impliquée dans l’enseignement de l’Anesthésie-Réanimation Médecine Péri-Opératoire.
De part ces expériences, j’ai particulièrement à cœur de diffuser une image très positive de toutes les facettes de notre métier. Être membre du CA de la SFAR constituerait l’occasion pour moi de participer activement aux réflexions et aux actions tant autour des pratiques, de la recherche, que de l’organisation des soins d’anesthésie-réanimation pour tous types de structures, et ainsi de prendre part à la poursuite de la dynamisation de notre société savante et de notre spécialité.
Renouveler ma présence au sein du Conseil d’Administration de la SFAR grâce à vos votes me permettra de continuer à représenter les anesthésistes-réanimateurs de terrain, dans notre Société Savante, ainsi que tous les modes d’exercice de la pratique professionnelle au quotidien : en anesthésie sous toutes ses formes, réanimation, médecine péri-opératoire, et dans la prise en charge de la douleur : Je re-présente donc ma candidature pour que le Conseil d’Administration de la SFAR continue à être le lieu d’échanges entre les différentes sensibilités anesthésiques.
Nos pratiques professionnelles multiples se rejoignent en privé et en public, avec la même nécessité de reconnaissance par les autres spécialités -et en particulier les chirurgiens- et par nos patients, de toute la richesse spécifique de notre spécialité.
Je souhaite donc poursuivre en partenariat avec les différents Confrères du CA de la SFAR et au sein des instances nationales, la mise en valeur de tous les savoirs, savoir faire et savoir être de notre quotidien d’anesthésiste-réanimateur.
Le positionnement des IADEs collaborateurs est à conforter selon les décrets de 1994 et 2017, car l’anesthésie est et doit rester un geste médical, gage de sécurité, et dont la délégation partielle du per op est encadrée.
La sécurité de notre pratique d’anesthésie-réanimation est reconnue et doit être valorisée dans les actes professionnels pour nous permettre de poursuivre, tant en public qu’en privé, et la qualité et l’innovation et la recherche.
Si je postule pour être membre au conseil d’administration de la SFAR, c’est avant tout par envie et conviction.
Exerçant essentiellement en réanimation polyvalente mais aussi au bloc opératoire au sein d’une clinique privée depuis janvier 2018, mon parcours professionnel m’a permis d’acquérir une expérience transversale entre l’anesthésie et la réanimation, le secteur public et privé, universitaire et clinique.
J’ai été amenée à travailler successivement dans un CHU comme chef de clinique puis PHC, un PSPH et enfin une clinique privée, d’abord à Lille puis à Toulouse. J’ai pu mesurer l’aide précieuse qu’apporte notre société savante au quotidien pour s’adapter à la polyvalence de notre exercice. J’aimerais ainsi rendre à la SFAR et à ses membres l’aide qu’elle m’a apportée.
Dans ce cadre, je souhaite contribuer à l’évolution de la « Maison de l’Anesthésie Réanimation », et participer à écrire l’histoire de notre discipline avec toutes ses spécificités françaises qui en font sa force et sa reconnaissance internationale.
Consciente du travail à fournir, je mettrai toute mon énergie au service de notre société. Je vous remercie par avance de l’attention que vous porterez à ma candidature.
La SFAR m’a beaucoup apporté au long de ma carrière de médecin anesthésiste réanimateur militaire. J’y ai complété et maintenu à jour ma formation médicale et scientifique. En participant pendant plusieurs années aux travaux du comité d’analyse et de maitrise du risque, j’ai cherché à contribuer au principe essentiel de sécurité qui guide les actions de tous les médecins anesthésistes réanimateurs.
Pour ces raisons, et parce que je crois que notre SFAR doit poursuivre sa mission fédératrice d’enseignement, de sécurisation, de développement scientifique et de rayonnement du métier des équipes d’anesthésie et de réanimation, je sollicite de votre part de m’élire au conseil d’administration. Âgé de 54 ans, médecin militaire, directeur de l’École du Val-de-Grâce qui forme les praticiens militaires, je souhaite continuer à participer au dynamisme de notre Société avec l’expérience et les spécificités de mon parcours.
J’exerce mon métier d’anesthésiste depuis 25 ans. De formation belge et très tôt attachée à la qualité et la sécurité des soins, je défends les valeurs encouragées par notre société Sfar.
J’ai eu le plaisir de réaliser deux certifications et suis responsable de la gestion des risques médicaux au sein de la clinique.
Je me suis également investie dans la prise en charge de la douleur en réalisant une capacité Douleur.
Je souhaiterais participer aux travaux du conseil d’administration de la sfar dans ces deux domaines.
Je souhaiterai rejoindre le conseil d’administration de notre société et sollicite donc vos suffrages. Je veux ainsi poursuivre mon investissement au sein de la SFAR, engagé il y a de nombreuses années et dernièrement comme président du comité réanimation jusqu’en décembre 2021, comité très actif durant la crise Covid. Je suis praticien hospitalier et professeur associé, ce qui me permet de faire le lien entre la pratique clinique et la valence universitaire, de montrer que l’on peut être utile et s’investir quel que soit notre statut. Je souhaite continuer à porter haut les couleurs de notre belle spécialité dans sa diversité d’exercice (public et privé) et sa complémentarité (l’anesthésie et la réanimation).
Nous avons montré pendant cette crise que nous étions un maillon indispensable de notre système de santé et je me battrai pour que nous le soyons toujours dans l’avenir. Défendre notre spécificité, promouvoir la science, partager le savoir et garantir notre rôle, tels sont mes buts.
Par la présente, je fais acte de candidature au Conseil d’Administration de la Sfar.
Étant adhérent à la Sfar de puis de nombreuses années, j’ai participé à la vie et à l’activité de cette société savante au sein du Comité des Référentiels Cliniques pendant 6 ans puis au sein du Bureau Éditorial des revues de la Sfar (ACCPM, ANREA) en tant que rédacteur en chef adjoint (2014-2017) puis en tant que rédacteur en chef depuis 2018.
Il me semble important maintenant de pouvoir m’investir au plus haut niveau de la Sfar, à savoir le conseil d’administration.
L’anesthésie réanimation est en première ligne, dans l’ensemble des établissements de soins, depuis plusieurs mois. La pandémie a montré l’efficacité de notre discipline unique avec ses deux composantes égales et complémentaires. Mon parcours au sein de la SFAR, au Comité des Référentiels Cliniques, au Comité Réanimation, puis au Conseil d’Administration m’a permis d’apprécier le rôle central des Anesthésistes-Réanimateurs, exerçant en Centre Hospitalier Universitaire, Général ou Privé. L’anesthésie-réanimation est l’expression de la transversalité des pratiques, le centre de gravité des nouvelles formes d’hospitalisation et l’acteur majeur de la sécurité des soins.
Mon engagement est basé sur une vision pragmatique de notre métier dans le respect de l’exercice de chacun. A la SFAR, j’ai participé à la rénovation des statuts pour moderniser notre Société, à la fusion de l’ARCOTHOVA et de la SFAR pour sanctuariser l’activité cardiovasculaire au sein de notre discipline, à la promotion de l’équité des genres, et à la défense de notre vision des soins critiques durant la pandémie. Mes objectifs futurs sont de fédérer nos collègues autour de projets forts, rendre la SFAR plus ouverte et représentative de toutes les composantes de notre discipline, partager cette vision de l’anesthésie réanimation avec nos collègues des sociétés internationales. Ma mission au sein du Conseil d’Administration de la SFAR, si vous me la confiez, sera de défendre cette ligne d’unité et de solidarité soulignant la complémentarité des différents modes d’exercice de notre discipline.
Praticien hospitalier depuis 10 ans, membre du comité éthique depuis 5 ans, je porte à votre connaissance ma volonté de poursuivre mon engagement en vous présentant ma candidature comme membre du conseil d’administration. Elu grâce à vos votes, je défendrai l’excellence d’une pratique clinique basée sur des données scientifiques robustes issues d’une recherche pertinente, pratique directement inspirée par les valeurs du soin au service des patients.
Elu, je participerai activement à la promotion d’une spécialité polyvalente reconnue dans sa pluralité de compétences en anesthésie, en réanimation et au-delà, spécialité attentive à l’épanouissement individuel et collectif, sans discrimination de sexe, d’âge, de profession ou de mode d’exercice public ou privé. Conscient des mutations en cours et des défis à venir, je défendrai une vision innovante et résolument optimiste, portée par ce qui nous réunit.
Je souhaite par la présente porter ma candidature au conseil d’administration de la SFAR pour la campagne de renouvellement 2022.
Mon mandat de membre et président du comité douleur et anesthésie locorégionale de la société arrive à son terme cette année.
L’intégration du conseil d’administration me permettrait de poursuivre l’investissement entrepris au sein de la SFAR depuis 6 ans.
Après avoir fondé et dirigé le Comité Développement Durable, je souhaite à nouveau m’engager au sein de la SFAR pour mettre à son profit ma détermination à promouvoir ses valeurs à partir de mon expérience, tant clinique au sein des Centre de Lutte Contre Le Cancer depuis 25 ans que managériale comme cheffe de service du Département d’Anesthésie Réanimation Douleur de l’Institut Curie à Paris, ou encore en matière de recherche.
J’ai à cœur de défendre une pratique polyvalente de notre spécialité telle qu’on la pratique dans les CLCC avec anesthésie adulte et pédiatrique, réanimation médico-chirurgicale, accès veineux centraux et enfin douleur chronique.
Forte de ma participation au comité développement durable de l’European Society of Anaesthesiology and Intensive Care, je défendrai aussi une pratique plus respectueuse de notre environnement dans le respect des générations futures en partant de l’idée que la prise en compte des enjeux environnementaux conduit également à une amélioration tant de notre qualité de vie au travail que de la qualité de prise en charge des patients.
Enfin, je défendrai sans relâche, comme je l’ai fait dans les différents postes que j’ai occupés, la mise en pratique d’une véritable égalité femme-homme au sein de notre spécialité en terme de salaires, de postes à responsabilité et de reconnaissance médicale et scientifique.
Tous ces éléments doivent contribuer à rendre encore plus attractive notre spécialité dans le respect de ses différents modes et lieux d’exercice et à moderniser notre société savante pour que de plus en plus de jeunes ou moins jeunes collègues s’y sentent représenté(e)s et défendu(e)s.
Après avoir exploré toutes les facettes de la spécialité dans le public, je me suis installée en libéral dans un établissement qui accueille adultes et enfants, et je pense avoir ainsi une vision élargie du métier d’anesthésiste réanimateur.
Très investie dans notre discipline et convaincue que notre force réside dans les synergies entre le public et le privé et entre les activités universitaires et cliniques, j’essaie de contribuer à l’essor de notre spécialité en en participant aux travaux de diverses sociétés savantes (membre du CVP, groupe de rédaction des recommandations pour la pratique professionnelle en anesthésie pédiatrique, trésorière de la CARLIF). Je souhaite défendre les intérêts de l’anesthésie-réanimation qui protègent nos modes d’exercice et sollicite vos suffrages pour l’élection au conseil d’administration de la SFAR afin que toutes les composantes de notre spécialité soient représentées.
La crise sanitaire nous a rappelé l’importance d’être fédérés, représentés, et de travailler ensemble.
La SFAR a joué et continue à jouer un rôle crucial pour la structuration de notre activité, et pour la diffusion d’une information médicale de qualité.
Je veux participer à la vitalité de notre spécialité, porter la voix de nos confrères, et participer à l’effort collectif d’évaluer et d’améliorer nos pratiques.